La production des viandes bovines ainsi que des produits laitiers occupe un part de marché important dans tous les pays du monde. En France, l'effectif des éleveurs de bovins ne cesse d'augmenter chaque année surtout dans les zones éloignées des grandes villes. Alors que vous songez démarrer un projet dans l'élevage des bovins, il est important de savoir l'alimentation ainsi que les compléments alimentaires exigés par les Pouvoirs Publics.
Les solutions nutritives pour les bovins
Les aliments pour veaux rassemblent principalement des végétaux. Vos bovins peuvent manger tous les types d'herbes qui poussent dans la nature. Par ailleurs, si vous remarquez qu'ils mettent du temps à prendre du poids, intégrez dans leurs alimentations des compléments minéraux. Cela s'avère également une bonne option lorsque les herbes ne sont plus au rendez-vous en hiver.
Afin de dénicher le meilleur complément alimentaire pour vos bovins, n'hésitez pas à contacter un vétérinaire. Vous pouvez obtenir une liste complète des aliments que vos veaux doivent consommer au quotidien. Après un suivi de leur état de santé, il est possible d'obtenir des recommandations sur différents compléments alimentaires. Par la suite, vous n'aurez qu'à trouver ces produits en ligne. Il existe bel et bien des plateformes spécialisées dans la fabrication et la distribution des aliments bio pour vos ruminants, comme le site web https://farmaccess.com/. En quelques clics, vous découvrirez des produits alimentaires traités comme les minéraux pour bovins, le bolus, le propylène glycol. Grâce à des matières premières pour bovins bien sélectionnés, tous ces éléments respectent les charges strictes imposées par les autorités sanitaires.
Les aliments réservés pour les jeunes bétails
Il est obligatoire de suivre des normes sur l'alimentation pour bovins si vous prévoyez de commercialiser des viandes bovines. Dans les régions européennes, la ration alimentaire des bovins doit être à base de végétaux. Il est strictement interdit de donner aux bovins des farines de viandes et d'os.
Les fourrages verts s'avèrent les plus accessibles. Vous n'aurez qu'à emmener vos bovins se promener dans les surfaces verdoyantes de votre village. Certains éleveurs choisissent d'enfermer leurs bovins à la ferme. Pour ce cas, des fourrages secs comme la paille garantiront la survie des animaux. Des feuilles de maïs, du sorgho et des pulpes de betteraves sont également autorisés. A part les aliments à base de végétaux, vous devez procurer une bonne dose d'eau à chaque bétail quelle que soit la saison. Des jeunes veaux peuvent consommer jusqu'à 70 litres d'eau potable par jour. A l'âge adulte, prévoyez un minimum de 100 litres d'eau par bovin par jour.
L'alimentation adaptée à l'engraissement des bovins
Il est conseillé de laisser vos bovins se traîner sur les pâturages verts au minimum une fois par semaine. Des herbes vertes frais accordent plus d’apports énergétiques. 75% de l'alimentation doivent être constitués de fourrages, essentiellement d'herbes et de maïs. Pensez à d'autres végétaux riches en protéines pour les 25% de la ration. Intégrez des nutritions contenant des glucides, des protides, des lipides, des minéraux et des vitamines. Pour un engraissement rapide et efficace, misez sur des compléments alimentaires à base de lipides et de protéines. De nombreux nutritionnistes des bovins proposent des formules composées de plantes oléagineuses comme le soja, le lin et aussi le tournesol. Toutefois, demandez l’avis d’un spécialiste avant de procéder à un changement de ration alimentaire.
L'abattage des bovins est envisageable à partir de leur 20ème mois. A cet âge, les chairs ainsi que la masse musculaire de l'animal correspondent au critère de recherche des viandes de bovins sur le marché. Quelques mois avant l'abattage, vous devrez augmenter sa ration alimentaire. Choisissez des nourritures plus énergétiques dans le but de faire gagner du poids à l'animal. Prenez le temps de noter la liste des aliments que vous avez donnée à vos veaux. Lors de la vente de vos viandes bovines, les consommateurs ont le droit de connaître l’alimentation complète de l’animal.